La violence à l’égard des enfants : types et ripostes

D’après une analyse réalisée en Europe, la majorité des enfants de moins de 18 ans que l’on retrouve sont victimes de différentes sortes d’abus, de violence physique et psychologique. Au cours de la période de la crise sanitaire, le confinement a augmenté ce nombre et c’est la raison pour laquelle il devient nécessaire de trouver des solutions pour mettre fin à ces actes abusifs exercés à l’encontre des enfants dans le monde.

Les différentes catégories de violences constatées

La violence à l’égard des enfants regroupe différentes formes de violences orchestrées sur les mineurs. Les violences peuvent être réalisées par les géniteurs, les partenaires, les étrangers et les tuteurs qui ont la garde des enfants. Selon les grands spécialistes du droit, il existe 6 grands types de violence : la maltraitance qui se caractérise par les violences sexuelles, émotionnelles et physiques. Cette forme de violence se ressent plus en milieu scolaire, dans les foyers et dans les orphelinats. La seconde forme de violence est le harcèlement qui est le comportement d’une personne ou d’un groupe de personnes à l’égard d’une autre personne. Le harcèlement peut se passer à l’école ou sur le net.

La troisième forme de violence est celle qui cible les jeunes. On la rencontre beaucoup dans les communautés et elle peut se faire avec des armes ou sans. La violence sexuelle ou émotionnelle est celle subite par les partenaires. Les victimes les plus touchées dans cette forme de violence sont les jeunes filles victimes de mariage précoce. La violence psychologique fait référence aux intimidations, aux menaces, au dénigrement, aux actes de racismes et autres formes de traitement.

Les éventuels effets de cette violence

La violence envers les enfants engendre des conséquences néfastes sur leur santé et leur mental au cours de toute leur existence pour la plupart. Certains enfants victimes de maltraitance parviennent à surmonter ce traumatisme. La violence peut causer des dégâts physiques comme les blessures ou au pire des cas la mort d’une personne par homicide involontaire. Une violence physique faite sur une jeune femme peut aboutir à une grossesse non désirée, à des IST au fil du temps. Le système nerveux peut également être affecté par un traumatisme et si la victime est un élève ou un étudiant cela peut se répercuter sur ses résultats scolaires. Leur futur risque d’être lourdement impacté à cause des violences répétées. Ils auront des difficultés à trouver un emploi et à le conserver simplement parce qu’ils ne seront pas en mesure de vivre en société.

Les mesures pour lutter contre la violence envers les enfants

Etant contre la violence faites à l’égard des enfants, l’organisation mondiale de la santé a mis à place différentes stratégies :

  • Encourager les parents, les enfants, le gouvernement, les associations à prendre leur responsabilité,
  • Venir en aide aux pays qui font face à des difficultés dans leur combat,
  • Renforcer la mise en œuvre et l’application des lois,
  • Etablir et publier des orientations techniques en fonction des données disponibles pour la prévention et la lutte contre la violence.

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